9 conseils pour les parents

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Quelques conseils pour que votre petit ou petite karateka se sente bien sur le tatami.

1 – Il faut l’accompagner – il ne s’agit pas de simplement déposer votre progéniture sur le parking et de le laisser se débrouiller. Il a envie, même si il le dit pas, que vous le voyiez 5 minutes sur le tatami. Pas tout le cours car sinon il va pas être concentré sur le cours mais sur votre regard.

2 – Faire confiance au sensei – l’équipe enseignante pratique les arts martiaux depuis des décennies et enseigne par passion. Ils savent se qu’ils font. Ne prenez pas la place des enseignants. N’oubliez pas qu’ils ne viennent pas vous expliquer comment faire votre travail.

3 – Encourager – que ce soit dans la réussite, l’adversité ou la défaite/échec, l’enfant à besoin de vos encouragement.

4 – Accepter l’erreur – l’erreur fait partie de l’apprentissage. Sans échec il n’y a pas de progression. L’échec est normal et ne pas être banni. Il doit être un moteur de réussite future.

5 – Ne pas donner d’instruction – à moins que vous ne soyez instructeur vous même, gardez vos instructions pour vous-même. Et si vous êtes instructeur dans le même dojo, vous saurez que votre enfant vous demandera conseil quand il en jugera le besoin.

6 – Respecter les arbitres – l’arbitre est là pour faire respecter les règles. Les spectateurs sont là pour encourager. N’inversons pas les rôles.

7 – Etre à l’écoute – votre enfant à besoin de vous, de parler de ce qui se passe en cours. Il a besoin de votre écoute. Alors écoutez et échangez.

8 – Bien-être – le bien-être de l’enfant passe par l’envie de faire un sport. Si celui-ci n’aime pas la pratique au dojo, qu’il change pour un autre sport. Les enfants ont besoin de faire du sport. Alors autant que cela soit un qu’il aime.

9 – Eclosion – la vitesse d’apprentissage de chaque enfant va changer d’un individu à un autre. Il n’y a pas de moyenne. Chacun prend le temps qu’il lui faut pour acquérir une nouvelle compétence.

Le popcorn est préparé dans le même bol, à la même température, dans la même huile et pourtant les grains n’éclatent pas au même moment. Ne comparez pas votre enfant aux autres, leur temps de faire POP viendra.

Il s’agit ici que de bon sens et ne le voyais absolument pas comme une leçon de morale. Je suis papa aussi et je fais ce que je peux pour élever mon fils.

A très bientôt sur le tatami du Blagnac Karaté

Lionel

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